Naguère essentiellement assimilée à la musique militaire, aux orgues de barbarie ou aux fanfares d’étudiants, la « musique dans la rue » trouve aujourd’hui dans l’espace public de nouvelles sources d’inspiration, un public vaste et curieux, et de nombreuses possibilités d’invention d’un « art sonore en espace libre », pas si éloigné des préoccupations de certains compositeurs d’avant-garde. La rue serait-elle l’espace où s’abolissent enfin les frontières entre musiques savantes et musiques populaires, entre mélomane et consommateur, ou même entre bruit et son ?
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